Cinq critères principaux ont structuré la candidature de la Métropole :
- Expérimentation : servir de banc d’essai pour des pratiques innovantes
- Accélération : favoriser la croissance des start-up et PME hautement innovantes
- Construction d’écosystème d’innovation : favoriser les synergies entre les acteurs
- Expansion : agir comme un modèle pour d’autres villes, en essaimant les solutions initiées par la Métropole
- Vision de la ville innovante : créer un modèle de ville méditerranéenne durable, qui s’inscrit dans une vision stratégique sur le long terme
« À partir de ces grands axes, nous avons recensé les initiatives innovantes du territoire, dans un premier temps, puis nous avons porté la candidature en externe et en interne. En externe, nous nous sommes rapprochés de tous les acteurs de l’innovation du territoire, d’Aix-Marseille Université à la FrenchTech, en passant par L’Épopée, Medinsoft, Marseille Innovation, le Technopôle de l’Arbois, l’Accélérateur M… En interne, un comité de pilotage, que j’ai l’honneur de présider, a vu le jour il y a un an, et a permis d’élaborer une candidature de grande qualité ! », explique Didier Parakian, vice-président de la Métropole délégué aux Fonds européens et aux Relations internationales.
Avec pour baseline « Innovating diversity », la candidature de la Métropole défend ainsi la diversité et les contrastes qui la caractérisent, que ce soit sur le plan géographique, social ou économique, comme creuset de la dynamique d’innovation à l’œuvre sur son territoire.
L’innovation, un accélérateur de transition écologique
Depuis sa création, en 2016, la Métropole a placé l’innovation au cœur de sa stratégie de développement territorial. L’Agenda du développement économique de la Métropole, actualisé en 2022, donne même une place accrue à l’innovation, qui est à la fois un moteur de croissance et de compétitivité pour l’économie, mais aussi un accélérateur de transition écologique pour le territoire et un facteur d’inclusion pour ses populations.